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Vierge effarouchée et comédie - [Reboot]

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Deidre

Deidre

- Mél... ? Oh, non, non. Je ne... mélange pas. *ce disant, elle rougit de la racine des cheveux au décolleté* Je suis une maitresse par intérim, jusqu’au printemps. Et on n'a pas besoin de... difficultés supplémentaires. Il suffit de bien... classer les choses dès le départ.

Elle toussote, puis rebondit sur le compliment de Perséphone avec un sourire plein de fossettes :

- Merci bien. Les petits gabarits permettent parfois des fantaisies rigolotes... Et pis je passe inaperçue plus facilement !

Avec sa robe verte, sa peau pâle et ses cheveux cuivrés jusqu'au milieu du dos pourtant, la jeune femme ne semble pas ce qu'on peut appeler "discrète"

Enyo

Enyo

Enyo en reste bouche bée et rétorque aussitôt, comme d'habitude sans réfléchir à la bienséance de ses commentaires :

"Par intérim ? C'est pas commun ça, comme concept. Y a une maîtresse d'Arthur qui vous a d'mandé d'la remplacer ? Et il a dit oui ?"

Sans attendre la réponse, elle enchaîne :

"Passer inaperçu, c'est pratique pour les espions, mais sinon j'vois pas. Vous êtes espionne aussi ?"

Deidre

Deidre

La jeune femme est embarrassée :

- C'était pas prévu, que je devienne maitresse. Je suis même pas son style ! ... Donc, je reste pour le tenir au courant des caquets du panier de crabe, et je pars quand il fait moins froid. ... Mais c'est pas important, ma vie. ...

Elle regarde Perséphone avec une attention presque professionnelle :

- Ca va ? Ni nausées ni saignements ?

Perséphone

Perséphone

La jeune femme manqua s’étouffer, se redressant brusquement dans son bain.

« Vous comptez partir ?! Avec la place que vous occupez ? »

Elle se calma lorsque vient la question de la jeune femme, mais manifestement son attention n’était pas focalisée là-dessus. Perséphone continuait de fixer Deidre comme si une deuxième tête lui avait poussée.

« Non, ni l’un, ni l’autre. Ça va. »

Deidre

Deidre

Deidre se tourna vers l'étrangère à demi sortie de l'onde, notant distraitement que son tatouage faisait ressortir sa... peau de façon presque surnaturelle, avant de répondre en haussant les sourcils :

- Ma foi, oui. Peut être un peu après le printemps, pourtant. On s'habitue à... *elle lisse sa robe de prix* On s'habitue à tout ça mais... Mais je peux pas l'aimer. Je peux pas lui faire d'enfant. ... Je n'ai pas envie d'être une potiche décorative et puis, quand on en a marre, d'être une potiche remplacée.

Elle hausse les épaules.

- C'est marrant j'aurais juré qui vous comprendriez ça, vous.


Ses yeux font le va-et-vient entre Perséphone et Enyo.

Enyo

Enyo

Visiblement, Enyo ne comprend pas. Ni pourquoi Deidre quitterait une place pareille, ni pourquoi elle serait plus à même qu'une autre de compatir.

"Heu, franchement ? Si j'étais la maîtresse du roi, j'en aurais complètement rien à péter, de tout ça. Si, remarquez, j'comprends vaguement qu'vous préférez partir avant qu'on vous jette, question de fierté, quoi. Mais t'façons, Arthur, il en a jamais jeté aucune, de ses maîtresses. 'Fin bon, si vous en voulez plus, vous m'le présentez, hein ? On sait jamais..."

Elle plaisante, bien sûr ; son sourire le confirme. Se tournant à nouveau vers Perséphone dont elle a observé la partie supérieure avec curiosité, elle demande sans vergogne :

"C'est quoi, c'tatouage ?"

Perséphone

Perséphone

La jeune femme eu un sourire mystérieux, mais acquiesça doucement aux propos de Deidre.

« Je peux comprendre oui, mais ça veut pas dire que je m’attends à ce raisonnement de la part de tout le monde. »

A la question sur son tatouage, elle adressa un large sourire aux deux femmes et se redressa encore dans son bain, prenant une grande inspiration pour tendre sa poitrine et le tatouage qui la surmontait. On le distinguait ainsi dans toute sa splendeur ; l’œil entouré d’un triangle parfait, dont les rayons partaient en s’évasant vers son cou, et vers ses seins.

« C’est l’œil de la connaissance. Celui qui voit tout et qui sait tout. »

Deidre

Deidre

- Ah ben putain... Murmura la jeune femme en laissant sortir une expiration sifflante, et sans qu'on sut vraiment si elle parlait du tatouage ou de Persephone elle-même. ... Très très... Joli. Même si la signification est inquiétante, non ?

Là encore, le doute subsistait : qu'est ce qui était joli ?

Perséphone

Perséphone

Un peu surprise par la question, la jeune femme baisse vaguement les yeux, comme si elle essayait de voir son tatouage, ce qui est bien sûr impossible.

« Impressionnant hein ? Moi aussi j’adore ma poitrine. »

Elle a un grand amusé, puis redevient sérieuse.

« Inquiétant ? Pas plus que ça, il est synonyme de changement et d’ordre paraît-il, moi je l’aime bien. »

Enyo

Enyo

Enyo rit aux éclats à la plaisanterie de Perséphone.

"J'vais m'faire tatouer un truc sur les nichons, rien que pour pouvoir la refaire, celle-là."

Après quoi elle continue à suivre la conversation et à se balancer sur son dossier de chaise, ses yeux verts aussi curieux de l'une que de l'autre des demoiselles.

Deidre

Deidre

Nouveau regard appréciatif au décolleté d'Enyo :

- Et il y aura de quoi écrire toute la Bible dessus... Même si je ne pense pas que qui que ce soit se contente de lire vos seins s'il les a sous le nez. ... Ou alors c'est un eunuque. ... Et même dans ce cas... ... Par contre chez moi, faudrait un tout peit dessin. Sinon ça va dépasser...

Après un léger éclat de rire, elle se fait pensive.

- Vous savez que c'est la première conversation normale que j'ai depuis un mois ? Entre les autres filles qui pensent que je cherche à les évincer... *sourire mauvais*, les chevaliers qui pensent que je suis juste un sac à foutre sans cervelle... Et Arthur qui est Arthur... Je suis navrée de ce qui vous est arrivé, Perséphone, mais ravie d'avoir été là au bon moment. ... C'est mal, non ?

Regard désolé à Perséphone.

Enyo

Enyo

La catin accompagne de son rire clair celui de la maîtresse royale, puis renchérit avec enthousiasme :

"Putain, j'allais le dire !" s'exclame-t-elle sans réaliser qu'elle se sert du nom de son métier comme d'un juron. Comptant sur ses doigts :

"Les femmes normales, è m'parlent pas passqu'on parle pas aux catins. Les collègues, è m'parlent pas passque je leur pique les meilleurs clients. Les clients, y m'parlent pas passqu'y z'ont aut'chose à foutre, et c'est l'cas d'le dire. Mon barbeau, y m'parle. OK. Pour me d'mander combien j'ai gagné à la fin d'la journée, quoi."

Elle hausse les épaules avec une moue, se balance encore deux ou trois fois sur son dossier puis s'examine les ongles et lance sur un ton très service-service :

"Sinon, si mes poumons vous plaisent tant qu'ça, la passe est à une pièce d'argent*. J'fais pas souvent les femmes, mais bon, j'peux pas dire que j'sais pas faire non plus."

Elle relève les yeux pour saisir les réactions, prête à éclater de rire à nouveau.

--
* Une journée de travail de manœuvre. Un peu cher pour une passe, mais nous n'avons pas affaire à de la morue vérolée de bas étage, non plus (NdJ).

Perséphone

Perséphone

Faisant mine de réfléchir à la suggestion de la catin, puis à celle de la maîtresse, la jeune femme fixait en toute impunité le décolleté d’Enyo. Elle finit cependant par relever les yeux avec un large sourire.

« Si je puis me permettre, pas que j’aime pas la Bible, mais je vous conseillerais de le mettre au-dessus le dessin. Comme ça. »

Elle se suréleva dans son bain pour présenter de la meilleure façon possible son tatouage qui, en effet, ne débordait que très peu sur sa poitrine même s’il attirait bien évidemment l’attention sur elle.

« C’est un peu comme une … belle statue, on a pas envie de voir des trucs écris dessus. »

Elle conclut sur un rire amusé et se glissa de nouveau dans l’eau.

« Dois-je comprendre que je ne suis point normal si j’vous cause ? »

Apparemment, elle s’amusait beaucoup et ne tint donc pas compte de la remarque finale de Deidre. Elle aurait bien aimé dire la même chose, mais elle n’était pas sûre qu’annoncer que les femmes ne lui parlaient que pour lui filer 1 000 pièces d’or pour buter leur mari ou leur amant, était une bonne idée.

« Bah, j’vous pardonne, m’dame. »

Elle resta ensuite calme, jusqu’à l’annonce du prix. Qui était fondamentalement une bonne nouvelle parce qu’elle n’aurait ainsi pas besoin de demander. Mais aussi parce qu’il lui semblait affreusement bas, elle ne se fit donc pas gêner pour montrer sa surprise, se surélevant de nouveau dans son bain.

« Une pièce d’argent ? Mais une paire de poumon pareille vaut dix fois ça à Rome. »

Perséphone se glissa lentement dans l’eau, avec un sourire encore agrandie, le rire aux bords des lèvres.

« J’ai drôlement bien fait de venir, j’en prends bonne note. »

Deidre

Deidre

Deidre se penche, presque le nez dans le décolleté de Perséphone :

- Oui, pas recouvert, juste pour attirer l’œil. Et puis c'est bien fait. Pas dans un bar à marins, pas vrai ?

La jeune femme hoche la tête pendant le décompte d'Enyo, puis marque un arrêt à ses tarifs.

- Ben il y a de quoi faire, pour ce prix. Parce qu'il y a pas que les seins, il y a le reste de la carrosserie. ... Vous venez d'arriver ? Parce qu'à mon avis, vous cassez les prix ma belle.

Elle écoute les estimations de Perséphone :

- Dix pièces, ici, ce serait trop. C'est pas Rome. Mais... 5, ptêt bien. Vous les valez : vous êtes jolie, pas con et sympa, merde. Il y a des dames de cour qui peuvent pas en dire autant.

Elle lève les yeux au ciel, puis lance un regard en coin à la romaine. Tiens.

- Vous aimez que les filles, ou bien c'est en plus ?

La délicatesse à la Deidre. Un parpaing en béton dans le museau, avec un ruban rose autour.

Enyo

Enyo

"Ah nan mais vous c'est pas pareil", explique Enyo à la Romaine. "Vous m'causez passque j'ai donné un coup d'main comme ça par hasard."

Les commentaires sur ses tarifs lui font hausser les sourcils, puis réfléchir.

"Z'êtes gentilles, mais j'suis plutôt chère pour la province. Les catins d'ici, elles demandent pas plus, et y en a des girondes. Bon OK, pas autant qu'moi", ajoute-t-elle en prenant la pose. "J'monterai ptêt à deux pièces."

A la question finale de Deidre, elle se tourne vers Perséphone et attend sa réponse avec une curiosité dénuée de sous-entendus.

Perséphone

Perséphone

Hum … La question avait presque tardé à venir, après tout Perséphone n’avait fait aucun effort pour être discrète, mais après tout elle n’avait pas grand-chose à craindre de la parole d’une putain si elle la dénonçait, et la maîtresse royale n’avait pas l’air de ce genre-là. Cependant, la jeune femme ne répondit pas immédiatement, comme pour faire durer le suspense. Elle s’enfonça tranquillement dans son bain, sortant l’une de ses jambes pour l’inspecter un moment, puis elle tourna son regard vers Deidre avec un large sourire.

« Ce sont les hommes qui sont « en plus », ma belle. »

Et elle enchaîna à l’intention d’Enyo, en se tournant vers elle avec un sourire plus gourmand.

« Et je payerais 2 pièces sans problème. »

Enyo

Enyo

C'est fou ce qu'elle se remet vite, la Romaine. Déjà en train de flirter ! A croire que les bandits qui lui sont passés dessus lui ont causé autant de dommage qu'une piqûre de puce. L'effet habituel des hommes sur elle, peut-être...

Enyo lui adresse un sourire éclatant, lâche son dossier, attrape un tabouret et va s'asseoir près de la baignoire, le décolleté au niveau des yeux de Perséphone. Avec un sourire plus languide, ses yeux de chat disparaissant à moitié sous ses paupières, elle regarde Deidre :

"Et vous, madame ?"

Deidre

Deidre

- Et... Et moi, heu... Et moi... On va dire que je m'en suis tenue aux mâles. Les filles de mes dortoirs m'ont jamais inspirée, et celles qui se tenaient compagnie en l'absence de mec -ou pas- n'étaient pas vraiment celles pour lesquelles j'avais au moins un peu de sympathie.

Elle hausse les épaules.

- Et je couche pas si j'aime pas bien les gens. Sinon je m'ennuie, et comme je sais pas fermer ma bouche ça se voit, et comme je suis petite, on essaie de me la faire fermer et... ça peut mal se mettre.

Son regard clair va d'Enyo à Perséphone.

- Par contre, je ne voudrais pas casser l'ambiance, hein...

Elle amorce un mouvement de retrait.

Perséphone

Perséphone

Si la jeune femme n’a pas manifesté le moindre mouvement en voyant Enyo approcher, on ne peut nier qu’elle se remplit tranquillement les yeux, écoutant d’une oreille distraite la maîtresse royale. Elle finit cependant par lui adresser un sourire tranquille.

« Rassurez-vous madame, je n’y comptais pas ce soir. »

Elle relève ensuite ses yeux vers Enyo, sortant un petit peu de son bain pour se rapprocher, sans trop lever la tête.

« Dites-moi simplement où je pourrais vous trouver. »

Et pour conclure, elle dépose un baiser rapide sur le haut d’un sein de la jeune femme, non sans manquer de faire couler un peu d’eau sur elle.

Enyo

Enyo

Enyo lâche une brève inspiration, surprise.

"L'a bien refroidi, vot'bain. J'vais demander à Winnifred de vous faire monter d'l'eau chaude."

Elle se lève, roule des hanches jusqu'à la sortie de la pièce et se retourne. Grimace contrite.

"Pi j'vais ptêt retourner taffer, moi. Vous pourrez m'trouver dans ma roulotte, sur la route de la forêt."

Elle envoie un baiser du bout des doigts à Perséphone et un clin d'oeil à Deidre.

"A bientôt, non ?" dit-elle à l'une, puis à l'autre :

"Prenez soin d'vous. Bisous à Arthur..."

Son rire résonne dans l'escalier.

Deidre

Deidre

Etrangement, le baiser de Perséphone à Enyo n'a pas eu l'air de gêner outre mesure la jeune femme, tout au plus a t-elle esquissé un sourire. Par contre, dès la catin sortie, elle semble à nouveau un peu nerveuse et se laisse glisser au sol, posant sa cape sur ses épaules.

- Hm. Je vais vous laisser, pour la seconde partie de votre bain. Vous avez sans doute besoin d'être... seule. *on peut sentir un large doute dans sa voix* ... Aurez vous besoin d'autre chose ? Si vos malles sont arrivées, vous avez des affaires propres. ...

Perséphone

Perséphone

Perséphone enregistra les informations concernant la catin sans mot dire, faisant tout de même mine de saisir le baiser quand elle partit, en confirmant de la tête qu’elle avait toutes les chances de la revoir, puis elle se laissa glisser dans son bain avec un soupir satisfait, les yeux fermés. Yeux qu’elle ne rouvrit que lorsque Deidre parla, pour la regarder avec un sourire vaguement amusé.

« Dame Deidre, auriez-vous peur que je ne vous mange ? Je ne suis pas comme ça, si cela peut vous rassurer.

Elle acquiesça ensuite distraitement de la tête.

« Oui, j’ai des affaires propres en effet. Mais je ne sais pas si c’est déjà arrivé. »

Deidre

Deidre

La tentative de... fuite de Deidre stoppe net. Elle se tourne vers Perséphone et se rapproche, au final, de l'autre femme.
S'accoudant au baquet, elle pose son menton sur ses mains jointes et fixe la romaine avec attention. ... Au niveau du visage.

- Vous êtes... particulière. Je vous trouve sympathique, mais... il y a quelque chose en vous qui me met mal à l'aise. Et non, je ne sais pas pourquoi.

Elle plonge une main dans l'eau, trempant au passage sa manche, et essuie le front de Perséphone plusieurs fois avant d'expliquer :

- Une trace de terre. ... Oui, ça passera sans doute si nous sommes amenées à nous revoir. *léger rire* C'est peut être la jalousie, simplement.

Elle reprend sa pose attentive.

- Voulez vous que je vous fasse amener une ou deux toilettes ? ... Pas les miennes, nous ne sommes pas tout à fait... faites pareil, mais des choses mettables, au cas où.

Enyo

Enyo

Pendant ce temps, dans la salle de l'auberge...

Enyo a tenté de passer le nez en l'air devant son barbeau, imaginant vaguement qu'un coup d'oeil suffirait. Las ! Il va jusqu'à se lever pour lui barrer la route, ce qui représente un effort inédit chez le nonchalant maquereau.

"S'qu'y a ?
- Viens t'asseoir."

La catin obéit, avec un soupir retentissant pour se garder une illusion de libre arbitre.

"Paye-moi un coup puisque j'suis là.
- Winnifred ! Un coup d'gnôle s'te plaît.
- Et Winny... Un seau d'eau chaude là-haut s'te plaît.
"

La tenancière acquiesce et s'éloigne. Le barbeau se penche en confidence :

"Alors ?

Enyo lui balance un coup de poing sur l'épaule.

- Alors quoi ? J't'ai dit qu'c'était du gratin, t'espérais quoi ? Par contre j'ai ptêt une nouvelle cliente."

Perséphone

Perséphone

Tiens donc, s’agissait-il d’une paranoïaque ? Ces gens-là s’inquiétaient toujours pour rien, donc ils finissaient par avoir une bonne raison de le faire ; c’était ce genre de personne que la jeune femme redoutait toujours de croiser. Ils étaient doués pour trouver les petites incohérences et autres illogismes dans les histoires qu’on leur racontait. Heureusement, celle-ci n’avait pas l’air particulièrement agressif, bien au contraire. Perséphone se laissa débarbouiller sans un mot, ses yeux gris suivant ceux de la petite rousse.

« Hum … j’espère que ça s’estompera en effet, ce serait bête. »

Elle eut un petit sourire qu’elle tenta de rendre gentil.

« Je veux bien, et profitez-en pour y aller, je ne voudrais pas vous dérangr plus longtemps, d’autant que vous avez sûrement à faire aussi. »

Son ton n’était pas vraiment agressif, mais pas vraiment gentil non plus.

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