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Vierge effarouchée et comédie - [Reboot]

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Deidre

Deidre

La rouquine fronce un peu les sourcils. Le regard que lui a lancé l'étrangère était... estimatif. Le genre de regard qu'on n'attend pas d'une jeune femme, surtout perturbée par des sévices physiques et gelée et...

- Allez, venez. Bain. ... Winnifred ? Nous y allons. Merci de prévenir mademoiselle Enyo.


Sous les regards de toute la salle, les deux femmes s'éloignent. Perséphone peut noter que Deidre est vraiment un petit, tout petit format, tant en hauteur qu'en épaisseur, mais un petit format énergique.

- Un marchand ? Un marchand de quoi ? Il y a souvent des foires, par ici. Et le marché est pas mal.

Perséphone

Perséphone

Oups, repéré apparemment. Bah, tant pis. Quoique, difficile de dire si les bretonnes étaient habitués à ce genre de comportement. Ce serait fort dommage que non, étant donné les spécimens qu’elle avait rencontré jusque-là. Mais elle pourrait s’en accommoder.

« Je vous suis. »

Elle lui emboita donc le pas, répondant mécaniquement aux questions sur son marchand de père.

« Des armes madame, je crois pas qu’il y ait de marché pour ça. »

La jeune femme afficha un petit sourire en ouvrant la porte et découvrant le bain chaud qui l’y attendait.

Deidre

Deidre

Deidre pose sa cape sur un petit banc, paraissant en robe vert sombre d'excellente facture. Elle ne porte pas un bijou.

- Un marchand d'armes qui vous envoie ? ... Finement joué. Pour peu que la marchandise soit belle, entre elle et vous, on ne doit plus savoir où...

Consternée, la jeune femme met ses deux mains devant sa bouche.

- Je suis... navrée, vraiment. J'ai tendance à ce que mes mots sortent un peu n'importe comment... ... Je ne voulais pas....

Elle regarde autour d'elle, avise le baquet, et annonce avec un sourire un peu crispé :

- Vous devriez y aller pendant que c'est chaud.

Mais bon sang, que fait Enyo ? Avec sa chance, elle va encore dire des conneries...

Perséphone

Perséphone

La jeune femme aurait bien voulu répondre par un rire amusé et un sourire provocateur mais cela n’aurait pas concordé avec son statut de victime. Elle se contenta alors d’un rire nerveux et d’un demi-sourire.

« Je … je prends ça comme un compliment madame. »

Son conseil était sans doute avisé, elle devait prendre son bain. Sans se soucier de la présence de la jeune rousse, vraiment petite par ailleurs, surtout comparé à elle, elle se défit de sa robe qu’elle laissa simplement tomber au sol, le tissu était déchiré de toute façon. Perséphone se retrouva rapidement nue, dans toute sa splendeur excepté les multiples écorchures qu’elle s’était faite elle-même.

Levant la jambe pour rentrer dans le bain, elle la rétracta dès que son orteil eut touché l’eau et s’adressa à Deidre avec un léger sourire désolé.

« C’est encore très chaud. »

Deidre

Deidre

Jolie. Vraiment très jolie. Un peu trop grande, mais... Juste ce qu'il faut là où il le faut.

- Trop chaud ? *la jeune femme s'approche et met la main dans l'eau, la ressort et éclate de rire* Effectivement. Winnifred a du vous prendre pour une grande écrevisse. ... Venez près du feu, en attendant. Et...

La jeune femme va chercher sa cape -enfin, celle d'Arthur, qui lui fait une traîne- et la pose sur les épaules de Perséphone.

- Elle est plus chaude que celle qui vous a été offerte.

Perséphone

Perséphone

La cape lui convient très bien ; elle ne fait même pas de traîne, et elle est en effet bien plus chaude que ce qu’elle portait précédemment. Plutôt jolie d’ailleurs, sans aucun doute une cape de noble, ce qui confirme qu’il s’agit tout de même d’une maîtresse plutôt bien placée, elle aurait bien aimé avoir une réponse tout à l’heure, mais cela viendra en temps voulu. Avec un geste de remerciement, la jeune femme se redresse un peu et prend la direction de la cheminée. Après avoir hésité un moment, ses pas se refont assurés, sa démarche plus volontaire, plus délicate aussi, les hanches glissantes. C’est presque un réflexe qu’elle a un peu de mal à étouffer, surtout dans pareille tenue.

Se glissant près du feu, la jeune femme s’écarte confortablement, laissant la chaleur des flammes caresser son corps nu sous la cape. Elle pourrait bien se laisser simplement tomber là et profiter de la chaleur comme un lézard profite du soleil. Mais ce ne serait sans doute guère poli de sa part, elle finit donc par tourner de nouveau son regard vers Deidre, les flammes qui se reflètent dans ses yeux camouflant à merveille la lueur d’intérêt qui y naît.

« Vous n’êtes pas obligé de faire tout ça madame, c’est gentil. »

Enyo

Enyo

Venant secouer l'atmosphère paisible, une boule d'énergie refait son entrée, sourire en bandoulière et cinq sachets dans les mains. La grue semble tout à fait remise de son accès de conscience de classe, et plutôt fière de pouvoir faire figure d'experte aux yeux de ces luxueuses demoiselles. Surtout, ne pas lui dire que Deidre est aussi sage-femme...

Elle s'assied familièrement sur le rebord de la cheminée, face à Perséphone, et lui pose ses sachets sur les genoux au fur et à mesure.

"Alors. Ça, c'est de la rue. Ça, c'est de l'armoise, et ça, c'est de l'hysope. Là vous avez la sauge, et là, les graines de carotte sauvage. Moi, j'prends tout ça en trait'ment d'fond, comme qui dirait, bien dilué mais souvent, quoi. Dans vot'cas si vous voulez êt'vraiment tranquille, va falloir balancer la dose, mais vous risquez d'êt'malade."

Regard interrogatif :

"Préférez quoi ? Le dilué ou le spécial urgences ?"

Deidre

Deidre

Deidre observe Perséphone marcher, se demandant intérieurement si c'est le fait de venir du Sud qui donne à Perséphone cette classe, même à poil. Faudra ptêt lui signaler de moins rouler des hanches, sinon elle risque d'être assaillie... et pas que de demandes polies : les mâles locaux sont pas habitués, et pourraient prendre ça pour de la provoc'... Elle ouvre la bouche pour le signaler quand Enyo revient.

La rouquine écoute sans mot dire la jeune putain, un sourire s'épanouissant sur son museau au fur et à mesure : c'est parfait. Et puis, elle aime bien les femmes qui savent se prendre en main.


- Tout dépend si vous... faites ce qu'il faut en général, ou si vous êtes du genre sage, en fait. *elle va mettre sa main dans l'eau, sourit avec satisfaction* C'est bon.

Perséphone

Perséphone

La jeune femme ne bougea pas d'un poil jusqu'au retour de la putain ; elle jetait parfois un regard dans la direction de la maîtresse, mais sans plus. Elle saisit le moment où elle s'apprêtait à lui dire quelque chose, peut-être lui poser une question, mais fut interrompu par l'arrivée d'Enyo. Cette dernière déposa directement sur elle quelques plantes, les noms lui étaient vaguement familier mais elle n'avait jamais fait attention à ce qu'elle prenait elle-même. Elle écouta donc attentivement, puis redéposa les produits dans les mains de la cation en entendant que le bain était prêt.

" Je vais prendre le traitement dilué, je prends souvent ce genre de produits, inutile de mettre la dose. "

Sans plus se justifier, elle retira la cape et la laissa tomber à la place où elle reposait quelques temps plus tôt avant de se diriger tranquillement vers le bain offert. Perséphone s'y glissa avec souplesse, et un soupir de chat contenté.

Enyo

Enyo

Enyo répond au sourire de la maîtresse royale, avec quelque chose comme un besoin éperdu de reconnaissance dans ses yeux vert clair. Elle confirme de la tête les précisions de Deidre, puis observe la mise au bain de la rescapée.

Bon. Une habituée de la bagatelle, et apparemment un tempérament assez trempé pour être déjà bien remise du choc. Enyo révise ses opinions sur les dames de la haute. Parfois, elles en ont une paire... Enfin, façon de parler, parce que la Romaine, là, on fait difficilement plus féminin. Et ça chaloupe, et ça chaloupe...

"Dites, c'est pas pour critiquer hein, c'est joli à r'garder et j'prendrais bien des cours, mais vot'façon de tortiller du cul, ça va vous attirer des emmerdes, dans le coin."

La catin se dit qu'elle aurait peut-être mieux fait de fermer sa mouille, mais trop tard. Haussant les épaules, elle va chercher un pot d'eau frémissante dans la salle de l'auberge et revient pour concocter une tisane.

"C'est surtout avec la sauge qu'y faut y aller mollo", commente-t-elle en ajoutant à peine une pincée de chaque sachet dans son infusion. "J'vous laisse les herbes. Si vous y en avez plus, faudra aller en acheter à Henora, c't'une rebouteuse qui habite à côté du moulin."

Deidre

Deidre

Bon.
L'inconnue est sauvée et de la pneumonie et d'une grossesse importune. Elle n'a pas l'air d'être du genre à s'ouvrir les veines dans le bain pour un -ou plusieurs- troussage à la hussarde.
On peut se détendre. Et répondre à ses questions, tiens.

- Si on était obligées, mademoiselle, ce ne serait que du vent, non ?

Cette sentence définitive délivrée, la jeune femme se hisse sur le baquet, ses pieds battant l'air à 40 bons centimètres du sol, avec un sourire. Elle demande à Enyo :

- Et sinon, en ce moment, c'est pas trop dur avec l'hiver ? C'est pas un boulot facile quand il gèle, le tapin.

Le tout sans une once de moquerie ou même de compassion.

Perséphone

Perséphone

Une fois glissé dans l’eau chaude, la jeune femme ne faisait presque plus attention à ce qu’on disait autour d’elle. C’est pourquoi elle faillit ne même pas répondre à la remarque de la catin, et à vrai dire elle ne savait pas quoi dire. Oh bien sûr, elle aurait bien aimé lui dire que ceux qui lui cherchaient des ennuis sans tiraient rarement bien, mais cela n’allait pas avec son statut de victime. Alors quoi ? Elle n’avait pas non plus envie de passer son temps à s’aplatir, rôle à jouer ou non ; elle avait fait son choix il y a longtemps et ne changerait sa façon d’être pour rien au monde, encore moins pour des bretons.

« Je ne compte pas me déplacer comme ça en forêt, encore moins avec une bourse a portée. Quant à ceux qui envisage de me causer des problèmes sans être en bande, je leur souhaite bien du courage. »

Voilà. Ce n’était pas encore trop clair, mais ça donnait une assez bonne idée du tempérament de la Romaine. Les catins étaient peut être habitués à s’aplatir devant les hommes, mais elle avait choisi un autre genre de métier quand on lui avait laissé le choix, ou plutôt quand elle avait pris le choix, et elle ne regrettait jamais.

« Surtout dans ce pays, commenta-t-elle à la remarque de Deidre sur le tapin. »

Enyo

Enyo

"Non mais y a pas qu'en forêt... 'Fin bref. Faites bien comme vous voulez."

C'est le problème avec les gens à fort tempérament : pas foutus d'écouter les conseils. En même temps, celle-là a l'air d'en avoir sous le capot question ressources.

Enyo s'appuie sur le dossier d'une chaise et se balance, offrant sans y prêter attention une vue encore plus spectaculaire sur son décolleté. Elle rit, hausse les épaules et répond :

"J'suis pas frileuse. Pi en toute modestie, j'reste jamais bien longtemps dans la rue."

Deidre

Deidre

Ouais. La romaine a du tempérament. Deidre espère que cela ne portera pas trop préjudice à la jeune femme... Mais dans le commerce, il faut avoir la langue bien pendue et savoir s'en servir, c'est connu. Du reste dans le commerce d'Enyo aussi. Elle se tourne vers celle ci et... La rouquine écarquille les yeux, puis finit par éclater de rire :

- Vu ce qu'on aperçoit de vous, je veux bien le croire. Comment faites vous pour avoir de si gros poumons et une taille aussi mince ?

Loooong soupir. Puis, à Perséphone :

- Vous voulez que je vous fasse envoyer quelqu'un pour que vous signaliez l'agression et le vol ? Histoire de réguler un peu les bandits locaux... Pis la vengeance, c'est le pied.

Sourire froid.

Perséphone

Perséphone

Signaler le vol ? L’idée n’est pas mauvaise, cela permettrait de la faire connaître un petit peu vis-à-vis des autorités, et donc du château. Mais ça ne pourrait pas aboutir, manifestement, donc … A réfléchir.

« Je ne sais pas, madame. Je ne saurais déjà plus vous dire à quoi ils ressemblaient. Alors je ne sais pas si ce sera très utile. »

La jeune femme se tourna dans son bain.

« De gros poumons vous disiez ? »

Elle regarda Enyo, comme pour avoir confirmation, et eut ce qui ressemble le plus à un bug, son regard gris restant fixé sur le profond décolletée. Elle finit cependant par reprendre contenance, et un joli sourire en prime.

« On comprend que vous passiez le plus clair de votre temps au chaud, en effet. »

Enyo

Enyo

A la question de Deidre, la catin se sent pousser des ailes et prend une grande inspiration pour montrer la taille de ses poumons. Pas longtemps : juste après, elle éclate de rire.

"Désolée, c'est d'famille. Ma mère aussi était taillée comme ça. Mais, bon, avec tous mes poumons, j'suis pas la maîtresse du roi, moi, alors hein."

Elle décoche un sourire canaille à Deidre puis hausse les sourcils aux compliments arrivés d'une autre direction : on dirait que le bug de Perséphone l'a édifiée sur les préférences de la Romaine. Cependant, pour une fois, elle garde bouche close.

"Sinon, j'peux aussi arranger ça avec des copains d'mon barbeau. Là on est sûres qu'ils vous approcheront plus, les sagouins."

De l'ongle de son pouce, elle dessine une ligne sur sa joue, peut-être pour mimer la marque que les dits sagouins devront porter en travers de la face pour le restant de leur existence.

Deidre

Deidre

Amusant. La romaine a l'air d'avoir eu un moment de blanc. Jalousie ou intérêt autre ? ... Définitivement, cette journée s'annonçait meilleure en potins et sujets à questions que les dix précédentes. Au commentaire pourtant gentil d'Enyo, la dite maîtresse du Roi a un sourire gêné.

- Oh, vous savez c'est.. plus un concours de circonstances qu'autre chose. ... Pas que je me plaigne, au contraire mais... ça aurait pu arriver à n'importe qui. A peu de choses près.


Elle rougit et baisse les yeux. Toussote.

- Et hem... On ne vous embête pas trop, mademoiselle Perséphone ? Vous voudriez peut être un peu de... de tranquillité ? Nous pourrions... aller en bas boire quelque chose ou... *elle réalise que pas tout le monde n'est inoccupé comme elle, fait la moue* retourner travailler ? Je... ne sais pas ? Ca n'embêtera pas votre... barbeau que vous restiez là ?

Perséphone

Perséphone

Perséphone faillit se noyer dans son bain. La maîtresse du Roi ?! Si cela s’avérait exact, ce serait une merveilleuse coïncidence. La méfiance était donc de mise. Elle écouta le bref exposé de Deidre avec un intérêt certain, tout en feignant de ne s’intéresser qu’à sa toilette. La jeune femme n’intervint que pour ajouter quelque chose à la fin de la proposition de Deidre.

« Je suis très tranquille, et j’aime bien discuter. »

Puis elle se tourna vers Enyo, avec un léger sourire.

« Si je vous fait perdre du temps, je veux bien vous payer. J’ai de quoi si mes affaires ont bien été livrées »

Enyo

Enyo

Enyo roule des yeux au ciel.

"Mon barbeau, vous rigolez ? Il est trop content que j'tape la causette à de la d'moiselle... D'ailleurs il est en bas. Genre pour mater les carrosseries quand vous repasserez. J'ai eu beau lui dire que vous jouez pas dans la même cour, rien à faire."

Limite grognon, elle ajoute :

"Façon, j'lui ai dit hein. S'il en prend une deuxième, moi j'me barre."

Elle rit de bon coeur à la proposition de Perséphone.

"Commencez pas à jeter le pognon qui vous reste par les f'nêtres. J'travaille pas, là, j'discute."

Deidre

Deidre

Léger sourire.

- Ah ouais désolée. Il y a quand même un genre... d’exclusivité entre un noble et sa maitresse. ... Pas nécessairement réciproque, mais... Enfin, je ne pense pas que le fait que je monnaye mes charmes ferait rigoler Art... le Roi. Donc, je vais m'abstenir, désolée pour votre... ami. ...
*relève les yeux* Vous, vous êtes chipée, hein ? ... C'est... mignon.

Perséphone

Perséphone

La jeune femme s’abstient de tout commentaire au refus d’Enyo, même si un « Ça peut très vite s’arranger », avait failli sortir tout seul. Il ne serait pas bon de commencer à se payer une catin au bout de même pas une soirée au village, mais elle se renseignerait tout de même sur les prix. En espérant que celles de Bretagne soit aussi libre que celle de Rome. En revanche, elle réagit immédiatement quand on évoqua le fait qu’un mac la reluque.

« Pas la peine pour moi non plus, je préfère pas mélanger plaisir et travail. »

Elle affichait un petit sourire, ses yeux passant alternativement de la catin à Deidre, dont elle ne comprit pas la dernière réplique.

« Chipée ? Comment ça ? »

Enyo

Enyo

"C'pas à moi qu'y faut expliquer ça, c'est à l'aut'butor en bas", grogne Enyo en réponse aux justifications de Deidre. "On dirait presque que vous vous excusez, ma parole !"

Elle en riait quand le dernier commentaire de la maîtresse efface toute gaieté de son visage en un éclair.

"Eh, c'est qu'elle se fout d'moi", prend-elle la mouche. "Amoureuse, ça veut dire", explique-t-elle à Perséphone d'un ton peu amène.

Deidre

Deidre

Un peu étonnée la jeune femme ouvre grands les yeux :

- Me... moquer ? Pas du tout, je trouvais... j'aurais trouvé ça mignon, c'est tout. J'ai un côté très... fleur bleue, parait-il. *elle grimace* Je me suis toujours trouvée très carrée, personnellement, alors je doute mais... *petit sourire contrit* Allez Enyo. Ne vous fâchez pas. ... Je suis trop petite pour qu'on m'en veuille longtemps.

Enyo

Enyo

La catin examine Deidre d'un air soupçonneux quelques secondes, puis capitule :

"Mouais."

Un sourire moqueur se dessine sur ses lèvres.

"C'est lui qu'est raide dingue de moi, pas l'contraire. Enfin, verrez bien l'engin en redescendant. L'est pas trop mal."

Quoi qu'elle en dise, hein... Elle est chipée, aucun doute, vu la nette nuance de niaiserie que vient de prendre son sourire. Se tournant vers Perséphone, elle fait remarquer, désinvolte - et avec une parfaite mauvaise foi :

"Ah mais moi non plus, j'mélange pas. Et vous, madame ?"

Apparemment, appeler la maîtresse du roi par son prénom est pour l'instant au-dessus de ses forces.

Perséphone

Perséphone

Ah, amoureuse. Le sens du mot lui échappait parfois ; on avait bien tenté de le lui expliquer, mais c’était dans son enfance et elle n’en gardait que des vagues souvenirs. Toutefois, sans trop savoir pourquoi, elle n’aurait pas imaginé une telle relation entre une putain et son barbeau, mais elle ne pouvait pas se permettre le moindre commentaire, surtout concernant un sujet comme celui-là dans lequel elle n’avait aucune connaissance. Elle se contenta donc de suivre l’échange avec un regard intrigué, sans plus se manifester à nouveau.

Jusqu’à ce qu’elle se sente obligée de sortir une bêtise pour rappeler sa présence. Elle était à présent appuyée sur les bords du baquet, son regard fixé sur Deidre.

« Vrai que vous êtes petite … Mais c’mignon comme ça hein ! »

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