Il semblait que tout se passait à merveille depuis son arrivée en Bretagne, il y a quelques semaines à peine de cela. Son plan se déroulait très bien puisqu’elle était bel et bien devenue la maîtresse du Roi Arthur, et avait ainsi obtenu de lui une chambre au château. Bien plus grande et plus confortable que celle qu’elle avait à l’auberge. Le plus dur avait été de transporter toutes ses affaires en cachant la présence des armes qu’elle avait amenée, mais une fois cela fait, elle était tranquille pour le reste de la mission. Ne restait qu’à étudier les allers et venus dans le château, et trouver le moment idéal pour le tuer et partir aussitôt.
En attendant, Perséphone avait également réussit à obtenir que la jeune catin, Enyo, puisse lui rendre visite à intervalles réguliers. Elle avait longtemps insisté auprès du Roi qu’il s’agissait là d’une amie, la première à l’avoir aidée à son arrivée en Bretagne. Ce qui n’était après tout pas faux, et une amie pouvait bien passer une nuit ou deux dans le lit de son amie sans que cela ne pose problème. Après, Arthur n’avait pas forcément besoin de savoir ce que les deux amies faisaient dans ce lit. Des activités très intéressantes aux yeux de la romaine, et qui pouvait durer des nuits entières, ce qui pouvait expliquer les réveils tels que celui-ci.
En effet, le soleil était déjà levé depuis un moment quand la jeune femme ouvrit enfin les yeux. Malgré les tentures, qu’elle avait voulues large, les rayons dorés atteignaient déjà le lit à moitié. A présent bien réveillée et totalement incapable de se rendormir étant donné la lumière, Perséphone ne bougea pas d’un poil ; elle tenait encore serrée contre elle son amante de la nuit. Et ne tenait pas plus que ça à la réveiller, d’autant qu’elle n’était pas censée avoir de visite aujourd’hui.
En attendant, Perséphone avait également réussit à obtenir que la jeune catin, Enyo, puisse lui rendre visite à intervalles réguliers. Elle avait longtemps insisté auprès du Roi qu’il s’agissait là d’une amie, la première à l’avoir aidée à son arrivée en Bretagne. Ce qui n’était après tout pas faux, et une amie pouvait bien passer une nuit ou deux dans le lit de son amie sans que cela ne pose problème. Après, Arthur n’avait pas forcément besoin de savoir ce que les deux amies faisaient dans ce lit. Des activités très intéressantes aux yeux de la romaine, et qui pouvait durer des nuits entières, ce qui pouvait expliquer les réveils tels que celui-ci.
En effet, le soleil était déjà levé depuis un moment quand la jeune femme ouvrit enfin les yeux. Malgré les tentures, qu’elle avait voulues large, les rayons dorés atteignaient déjà le lit à moitié. A présent bien réveillée et totalement incapable de se rendormir étant donné la lumière, Perséphone ne bougea pas d’un poil ; elle tenait encore serrée contre elle son amante de la nuit. Et ne tenait pas plus que ça à la réveiller, d’autant qu’elle n’était pas censée avoir de visite aujourd’hui.