Le jeune voleur vêtu d'un long manteau luxueux d'un bleu roi étincelant brodé d'or est assis sur un trône de bois rare, accoudé avec désinvolture il sourit comme un enfant en regardant ce qui semble être la salle du trône d'un palais doré.
Devant lui une immense tablée et la fête bas son plein, jongleurs et jolies dames se balade au milieu de noble au rire franc mangeant de copieux plats dans un service doré sur une nappe d'un rouge pur.
Le maitre de ces lieux en la personne de Guilan se lève souplement et descend vers la table d'un pas joyeux, buvant du vin, racontant une blague, en écoutant une autre puis chantant un air paillard avec quelques paysans rieurs.
La fête est floue et remplie d'allégresse mais le petit voleur arrête sa valse de bouffonneries et d'hôte joyeux et regarde une chandelle se faire souffler sa flamme par un discret courant d'air. ce filet de vent froid souffle comme une brise glaciale sur le visage du jeune homme qui regarde autour sans rien voir ni entendre. Et tentant une blague encore qui ne le fait pas rire, buvant un autre verre sans saveur il regarde autour et pose son regard trop clair sur un tabouret vide et sent une petite mais pesante tristesse monter en lui, avant de se réveiller
un jeune voleur se réveille en sursaut dans un fauteuil d'une petite maison chaleureuse qu'il aime tant et semble un peu égaré, se lève et trottine vers la porte d'une chambre pas complètement fermé. Le jeune homme passe un regard par l'ouverture de la porte et un sourire paisible se dessine sur son visage. Retournant se coucher il s'endort avec ce sourire.
Devant lui une immense tablée et la fête bas son plein, jongleurs et jolies dames se balade au milieu de noble au rire franc mangeant de copieux plats dans un service doré sur une nappe d'un rouge pur.
Le maitre de ces lieux en la personne de Guilan se lève souplement et descend vers la table d'un pas joyeux, buvant du vin, racontant une blague, en écoutant une autre puis chantant un air paillard avec quelques paysans rieurs.
La fête est floue et remplie d'allégresse mais le petit voleur arrête sa valse de bouffonneries et d'hôte joyeux et regarde une chandelle se faire souffler sa flamme par un discret courant d'air. ce filet de vent froid souffle comme une brise glaciale sur le visage du jeune homme qui regarde autour sans rien voir ni entendre. Et tentant une blague encore qui ne le fait pas rire, buvant un autre verre sans saveur il regarde autour et pose son regard trop clair sur un tabouret vide et sent une petite mais pesante tristesse monter en lui, avant de se réveiller
un jeune voleur se réveille en sursaut dans un fauteuil d'une petite maison chaleureuse qu'il aime tant et semble un peu égaré, se lève et trottine vers la porte d'une chambre pas complètement fermé. Le jeune homme passe un regard par l'ouverture de la porte et un sourire paisible se dessine sur son visage. Retournant se coucher il s'endort avec ce sourire.