*Grande respiration. Coeur qui bats la chamade. Elle entre en scène. La tension redescend . Elle n'entends même pas les bruits de la foule devenus floue. Elle s'arrête au milieu. Elle semble chercher quelque chose du regard. Mais elle ne bouge plus. Elle lève la tête,hésite, ouvre la bouche, la referme, recommence...et commence*
...
Le jour était baigné de cette douce lumière
Et le calme berçait fragilement cette terre
Limpide, la rivière coulait et nous offrait son eau
Mais nous sentions qu’un jour s’agiterai ses flots
Et dans un bruit brutal quelque chose frappa
Soudain nos cœurs se sont serrés et nos yeux se sont clos
Une ombre noir fut annoncé par le glas
Et en un instant, le monde se trouvât vide, tout était envolé
Caché sous son masque, habillé d'un manteau, elle avait tout pris
Qui étais-ce ? Nous ne le savions pas …
Et Nous sentions alors tomber les larmes sur nos joues couvertes de nos cris
Mais devant nous, sous la violence du vent, c’était leurs corps sanglants qui tombaient là
Toutes les terres du monde n’étaient plus que poussières et sécheresses
Et toi, qui étais tu ? Je ne le savais pas
Mais entre ces nuages ... le soleil revenait, telle une caresse
Malgré ses rayons qui nous réchauffaient, il manquait quelque chose
Il manquait tout ce qui n’était plus
Mais le jour était baigné de cette douce lumière…